D - Féminismes, décolonisations et cultures numériques

Le collectif : forme idéale de créations de nos futurs désirables, contre l'individualisme et la culture de la compétition néo-libérale.

Le mot cyberféminisme est utilisé pour décrire les activités d’une communauté féministe s’intéressant au cyberespace, à internet et aux technologies numériques. L’expression a été inventée dans les années 1990 pour décrire le travail critique, activiste, artistique et théorique de féministes sur internet et dans les technologies numériques1,2. S’il résiste à une définition rigoureuse, il s’attache au développement et à l’expression du féminisme dans le contexte des interactions et de l’art en ligne. Source : wikipedia, https://fr.wikipedia.org/wiki/Cyberf%C3%A9minisme image de couverture : Lynn Randolph, illustration pour la couverture du livre de Donna Haraway “Simians, Cyborgs and Women”, 1991 (deuxième édition).

ou comment appliquer l'éthique du hacker pour améliorer leur propre corps à l'aide de dispositifs cybernétiques à faire soi-même ou en introduisant des substances biochimiques, biologiques, dans le corps pour en modifier la fonctionnalité et la perception. Image : Transplant de Quimera Rosa, Festival Bandits-Mages au Transpalette, 2016

Les hackerspaces féministes et féminins sont des espaces physiques qui sont soit centrés sur les femmes, soit réservés aux femmes. Image : https://www.bitchmedia.org/article/double-union Lien ressource : https://geekfeminism.wikia.org/wiki/Feminist_and_women%27s_hackerspaces

Recensement d'artistes (toutes disciplines) et activistes fxmmes et/ou féministes ayant des liens forts (ou non) avec les enjeux du numérique.

Recensement de chercheuses engagées et inspirantes pour la construction de nos futurs désirables et partagés. Image : «Endosymbiosis, tribute to Lynn Margulis», Shoshanah Dubiner, 2012, www.cybermuse.com

Documentation collective des cyberféminismes passées, présentes, futures, en territoires francophones